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📡 Techniques de détection des réseaux enterrés
Chez FD TOPO PLANS, nous utilisons des techniques avancées de détection pour localiser avec précision tous types de réseaux enterrés. Ces méthodes reposent sur le principe que tout champ électromagnétique se propage dans un milieu conducteur et génère un signal détectable, permettant de cartographier la position et parfois la profondeur des réseaux.
🔹 Détection passive
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Mesure des champs électromagnétiques émis naturellement par les câbles sous tension alternative.
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Détection des radiofréquences réémises par les canalisations métalliques.
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✅ Avantage : rapide et non intrusive, première étape de localisation fiable.
🔹 Détection active
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Raccordement direct : mesure le champ induit dans le réseau, qu’il soit sous ou hors tension.
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Pince à induction : utilisée pour les réseaux accessibles mais isolés, elle génère un courant induit permettant de déterminer direction et profondeur.
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Sonde électromagnétique : insérée dans la canalisation, elle émet un signal capté en surface pour suivre le tracé du réseau.
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Géoradar (GPR) : émet des impulsions électromagnétiques haute fréquence pour cartographier les structures enterrées, quels que soient les matériaux.
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⚠️ Limites : visibilité réduite selon les propriétés diélectriques du sol et des canalisations ; méthode non discriminante, complémentaire aux autres techniques.
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✅ Résultat
Grâce à la combinaison de ces méthodes et à l’expertise certifiée de nos équipes (AIPR, ADNT 3002,..)
FD TOPO PLANS garantit :
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Une cartographie précise et fiable des réseaux enterrés
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La sécurité des chantiers
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La conformité réglementaire et technique des relevés
Techniques de Détection
Ce terme regroupe des techniques diverses qui reposent sur le principe que tout champ électromagnétique se diffusant dans un milieu plus ou moins conducteur génère un courant induit qui génère à son tour un champ électromagnétique. Les courants et champs induits sont d’autant plus forts que le milieu de propagation est conducteur.
Parmi ces techniques se distinguent deux grandes familles. La détection électromagnétique dite passive et l’autre dite active.
Les techniques passives
Elles permettent de mesurer :
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Un champ électromagnétique émis par un câble sous tension alternative et soumis à un courant.
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Les radiofréquences captées et réémises par une canalisation métallique.
Les techniques actives
La technique dite par raccordement direct permet de mesurer le champ induit dans le matériau sous tension ou hors tension.
La technique avec une pince à induction
Elle s’emploie sur un réseau accessible mais dont l’isolation empêche un raccordement direct. Ici, on branche le générateur (partenaire du détecteur) à une pince circulaire générant un courant d’induction. Elle-même est placée autour du réseau dont on veut déterminer la direction et la profondeur.
Détection par sonde
Pour cette technique de détection intrusive mais non destructrice, une sonde alimentée par pile ou raccordée à un générateur est fixé à l’extrémité d’une aiguille flexible. Elle est introduite dans la canalisation et elle émet un signal électromagnétique qui est capté en surface par un récepteur et permettant de suivre le signal à l’avancée.
Détection au Géoradar
est une technique qui utilise l’émission d’impulsions électromagnétiques haute fréquence pour obtenir des informations sur le sous-sol afin de cartographier les structures enterrées. Le principe de base peut être comparé aux sondeurs utilisés pour la pêche, l’echo-localisalion. Les objets ou structures enterrés avec des changements de leurs propriétés diélectriques créent une réflexion des signaux reçus qui se propage vers la surface et sont captés par le georadar.
Cette technique permet théoriquement de localiser les canalisations quels que soient leurs matériaux. Mais plus les constantes diélectriques des matériaux sont proches du milieu de propagation de l’onde émise par le géoradar, moins la canalisation sera visible.
En outre, le signal est rapidement atténué, avec la profondeur, par l’humidité du milieu de propagation et par la nature du sol (argiles en particulier).
Il s’agit d’une méthode non discriminante car elle ne permet pas de donner ni la nature, ni le matériau de la canalisation observée. Elle permet seulement de replacer les réseaux répertoriés par les concessionnaires sur les DT/DICT en classe en A. Cette méthode ne peut être utilisée seule. Elle vient en complément des méthodes cité ci-dessus.